2 mots, 2 approches et une métaphore pour l’expliquer : celle de l’icerberg! La partie émergée, celle que l’on voit ne represente que 10% de l’iceberg. Cela implique que 90% de l’iceberg est invisible depuis le niveau de la mer… mais quel lien avec cet article? La réponse ci-dessous !
Ce qui remonte est visible ! Tout pourrait tenir dans cette phrase. En effet, la partie émergée de l’iceberg représente les symptômes du problème ou de la difficulté, tels que la fatigue, les tensions musculaires, les troubles du sommeil, les pensées négatives… que vous vivez.
Ces symptômes peuvent être très perturbants, gênants, voire très désagréables ou même invalidant. Ils sont la partie émergée de l’iceberg. Ce que l’on ressent, ce que l’on voit, est la partie émergée de l’iceberg. Ces symptômes s’appuient sur la partie immergée, invisible. Sans la partie immergée, il n’y a pas de partie émergée….
La partie immergée quant à elle est invisible, mais bien là. Souvent, on l’appelle « l’inconscient », Cette partie invisible représente les causes profondes du mal-être. Les racines. Il peut s’agir de facteurs psychologiques, , comportementaux… des comportements inadaptés, mais aussi de facteurs environnementaux tels que des problèmes relationnels ou des pressions professionnelles. Cela peut-être dû à des failles narcissiques, des complexes, des injonctions parentales, sociétales…
Cette métaphore nous aide à mieux comprendre un concept : ce qui est invisible représente 90% de ce qui est visible et qu’il nous est permis de percevoir, ressentir, conscientiser.
Prenons un cas simple : quelqu’un qui vit un stress intense avant chaque prise de parole en public. La partie visible (le trac, les mains moites, le coeur à 200…) peut être travaillée en coaching ou avec des outils de TCC. Mais si ce stress vient d’une humiliation répétée dans l’enfance, c’est la partie immergée que seule la thérapie pourra aider à explorer.
Le coaching et les TCC (thérapie cognitivo-comportementales) pour accompagner la partie visible de l’iceberg, la thérapie pour s’occuper de la partie invisible. Formée aux deux approches, je vous apporte ma vision et vous partage mon diagnostic.
Un des enjeux de la première séance est donc de comprendre votre besoin réel au-delà des symptômes exprimés. Lors des séances, je vous propose de cheminer en gardant à l’esprit l’iceberg complet, plutôt qu’une seule des deux parties.
Un coaching peut vous aider à préparer efficacement un entretien d’embauche, en travaillant votre confiance et vos techniques de communication. Une thérapie, en revanche, sera plus adaptée si chaque entretien réveille une vieille peur de l’échec profondément ancrée.
Aucune approche n’est meilleure qu’une autre : il y a celle qui vous convient, qui répond à votre urgence, colle à votre réalité et vous accompagne à vous aider vous même. La meilleure approche, c’est celle qui permet de décoincer rapidement et durablement une situation difficile.
Lors d’un premier rendez-vous par exemple, une personne peut venir pour une insomnie. Est-ce un symptôme lié à une période de stress ponctuel (où un coaching et quelques outils pratiques peuvent suffire) ? Ou bien un signe récurrent d’un mal-être plus profond et ancré (où la thérapie sera nécessaire) ?
Coaching et thérapie ne s’opposent pas : ce sont deux approches complémentaires qui répondent à des besoins différents. L’essentiel est de commencer par reconnaître ce dont vous avez besoin aujourd’hui : agir rapidement sur un blocage concret ou explorer plus en profondeur les racines de votre mal-être. Une question clé à se poser : « Moi, où en suis-je en ce moment ? » Si ce sujet résonne, je vous invite à me contacter.
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